Stanford University
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 J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.

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Johan A. Evans

Johan A. Evans

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MessageSujet: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyVen 30 Oct - 21:27

Que faire de sa journée quand on s’appelle Johan ? Chasser quelques proies ? Sécher les heures de cours ? Tomber dans les bras de Morphée ? Faire de la musculation ? Toutes ses propositions étaient possibles, mais une seule résumait le passe-temps actuel de Johan ; la dernière. Il effectuait quelques pompes et abdominaux pour sculpter son corps mais aussi pour rester en forme. Il termina sa série pour en commencer une autre, il souleva deux poids identiques dans chaque main, puis ainsi de suite. Après une heure de musculation, il s’éclipsa de sa chambre avec une drap de bain autour du cou. Il marcha en direction d’un des distributeurs installé dans sa confrérie histoire de prendre une demi-bouteille d’eau fraîche. Laquelle, il termina en moins de deux. Il décida pour la suite de sa séance personnelle, d’allumer son mac afin d’écouter sa liste de musiques préférées. À nouveau dans sa chambre, il démarra donc son mac et sélectionna la liste qu’il écoutait le plus. Il laissa place aux CSS avec Jager Yoga ou encore Ladytron avec Ghosts. Johan lança la lecture et s’adonna une seconde fois aux altères. Il retroussa le bas de son pantalon au niveau des tibias. Puis secoua son débardeur blanc pour le décoller de son torse. 11 heure 30, sonna… en même temps qu’une personne toqua chez lui. Il stoppa son activité, et s’avança vers la porte en tapotant la serviette éponge sur son visage. En face de la porte, il la tira vers lui ce qui le laissa reconnaître une charmante brune.

-Je me souviens encore de notre dernière entrevue… dit-il en se frottant le côté droit de sa mâchoire et en se collant un sourire au coin des lèvres. J'espère que tu n'es pas venue pour équilibrer de l'autre côté. Johan usa de l’ironie mais pour une fois ses yeux le trahirent. Ils véhiculèrent comme des remords. Mais il faisait comme si de rien n'était. Il se demanda bien ce qu'elle faisait ici. Il chercha un court instant mais il ne trouva pas une raison valable, peut-être celle de lui donner une bonne paire de baffes. Geste qu’il méritait sans hésiter. La voir sur son pallier, lui faisait renaître quelques souvenirs entre autres celui où ce qui les liait se brisa par sa faute. Mais pourquoi s‘était-il comporter ainsi ? Il était impardonnable sur ce coup-là. Il blessa sa meilleure amie. Il la considéra comme une simple proie. Il s’en voulait tant mais il était lui-même, celui qui s’en fichait de tout et qui semblait si impassible. Il la zieuta sans lourdeur, le temps pour lui de détailler sa tenue, bien plus présentable que la sienne. Puis ses yeux furent attirés par la présence d‘un élève. Il glissa son regard par dessus l'épaule de la demoiselle, puis il fronça les sourcils.

-Le mec derrière toi risque fortement d’attraper un torticolis si tu restes là. Par politesse, il s’écarta de la porte pour la laisser passer. Il l’invita à entrer dans l’idée d’empêcher le voisin de la reluquer mais aussi pour ne pas la laisser sur le pallier. Il ne supportait pas de voir un mec aux pensées déplacées entrain d’examiner Everleigh sous toutes les coutures. Jalousie ? Non… bon d’accord ça l’énervait un peu pour ne pas dire beaucoup. Et puis, le type la dévorait des yeux comme un chien devant un bout de viande. Johan n'appréciait que trop peu ce genre de comportement, presque grossier. Elle représentait énormément pour lui, qu'il n'acceptait pas qu'un voyeur se rince l'œil en la fixant. Même lui, chasseur de première classe ne se comportait pas comme tel. Il admirait les filles avec du tact. En ce qui concerne Everleigh, plus il la regardait et plus il regrettait. Elle lui manquait tellement mais la sensation de son absence s'avérait être bien plus qu'un vide amical. Néanmoins, il n'allait pas se lamenter en non-stop, ce n'était pas pour lui. Les yeux du ténébreux se faisaient plus troublants voire intimidants. Il ne souhaitait pas la déstabiliser, il se perdait uniquement dans ses pensées sans se rendre compte qu'il bloquait sur elle. Il n'avait d'yeux que pour elle, ce qui était normal puisqu'elle était la seule fille dans les environs. Mais même si une demoiselle se manifestait, il ne décrocherait pas ses yeux de la belle brune qu'il convoitait tant.
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Everleigh L. Roberts

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyVen 30 Oct - 22:10

    Soit elle était maso',soit vraiment accro.Comment une aussi jolie femme comme Everleigh Leah Roberts s'était retrouvée face à la porte qu'elle s'était empressée à refermer la dernière fois qu'elle avait quitté cette pièce ? Situation saugrenue et pourtant qu'elle assumait complètement,de toutes façons faire demi-tour après avoir toqué serait débile. Déjà que niveau crédibilité le degré s'était vachement abaissé mais là si en plus la brunette passait pour une gamine qui s'amuse à frapper à la porte des gens -et qui plus est votre meilleur ami enfin grand mot qui signifiait plus grand chose- et se tire ensuite. Non pas qu'elle soit blonde -quoiqu'elle n'avait rien contre elles- mais juste gênée et embarrassée. La venue chez Johan elle aurait pu l'éviter,si elle avait pas oublié un stupide bouquin traitant sur les relations entre hommes/femmes du point de vue sociologique au siècle dernier. Vive la coïncidence non ? Ce livre elle aurait pu aussi l'emprunter à la bibliothèque universitaire si elle n'avait pas perdu la carte quelque part dans le dortoir qu'elle partageait avec d'autres jeunes filles.

    Non,E. n'est pas une poissarde elle a juste des jours "avec" et des jours "sans" donc de toutes évidences il fallait qu'elle aille le chercher elle-même ou encore mieux et dernière idée étrange ; envoyer une copine le chercher à sa place. La solution était envisageable et la jeune étudiante avait même trouvé qui serait l'élue et quand mais en pensant à Johan et à son caractère de Don Juan au plaisir charnel jamais assouvi. Envoyer une "proie" serait laisser la fille en question oublier la raison de sa venue dans la chambre du jeune homme pour ses beaux yeux,ce n'était pas pour le défendre ou quoi mais E. devait avouer qu'il avait des beaux yeux. Un regard a vous faire fondre sur place,elle tuerait pour qu'il la regarde comme il l'avait fait pendant qu'il glissait ses lèvres dans son cou,bon si elle se mettait déjà à penser à la nuit qu'ils avaient passés et à la suite de laquelle il l'avait tout simplement jeté ; elle était mal barrée. « Etrangement moi je ne me souviens de rien ; ça devait pas être aussi exceptionel que ça finalement non ? » Menteuse ! Inutile qu'en le voyant avec ce débardeur elle avait la claire idée de le lui retirer mais ça c'est une autre histoire. « J'ai oublié un bouquin et j'ai pensé envoyer une copine le chercher MAIS je sais que tu l'aurais détourné de sa mission principale et que je ne l'aurai plus jamais revue... » Son ton s'était fait faussement dramatique mais ironique,et puis la vraie raison n'était-elle pas qu'elle ne voulait pas qu'une autre fille et surtout une fille qu'elle connaissait puisse l'embrasser et s'offrir le droit de recommencer,chose qu'Everleigh n'avait pas.

    Lorsqu'il fit la remarque sur le vicieux qui la matait depuis sa chambre,E. tira la langue et fut surprise qu'il s'en charge ou plutôt qu'il fasse une remarque. De nature audacieuse et surtout d'après des souvenirs de camps de vacances elle aurait soulevé le tee-shirt en lui faisant un signe "rock'nLove" mais elle n'était pas dans des camps où l'on croisait les personnes une fois dans sa vie et après plus jamais. Donc elle se retourna le fixa quelques secondes et soupira,au moins un qui la regardait avec envie même si c'était de l'envie juste sur le moment pour se rincer l'oeil. Juste le fait d'être désirable était plaisant. En fermant la porte la jeune femme ferma les yeux et pria pour ne pas que son regard se pose sur le lit ou quelques meubles qui lui ferait penser à tout ça,prendre le livre et s'en aller. Pourtant plus elle s'avançait dans sa chambre où les talons qu'elle portait ne faisait pas autant de bruit que dans les couloirs,plus le regard de Johan se faisait insistant. Elle le sentait,le regard des gens peut être encore plus lourd que des mots si elle croiserait son regard elle deviendrait à nouveau vulnérable = et donc conne. Se faire jeter une fois okay mais à partir de deux on s'pose des questions ou on lâche naturellement l'affaire : « Qu'est-ce que t'as ? T'as pas vu une fille depuis 24 heures ou quoi ? » Pourquoi elle ne pouvait pas fermer sa boucher,chercher ce livre et partir ? Pourquoi une fille ça ne peut pas s'empêcher de lancer la conversation malgré elle ? Voilà pourquoi les hommes les trouvaient trop bavardes,glissant une main dans la poche arrière de son jean elle essaya de l'éviter et d'instaurer une limite entre eux,une distance de sécurité qu'elle ne devrait pas franchir. Au risque de lui sauter dessus ? Possible...
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Johan A. Evans

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptySam 31 Oct - 12:39

Était-il ce salaud de service ? Était-il celui qui ne s’attachait pas ? Était-il ce mec prétentieux ? Était-il celui qui s’en fichait des conséquences de ses actes ? Était-il la pire ordure possible ? Était-il borné pour ne pas tomber amoureux ? Mais qui était-il ?… aimerez-vous le savoir ?… si non, tracez votre chemin ; si oui, lisez la suite. Johan n’était pas le mec idéal pour une fille. Il n’était pas démonstratif. Il préférait traîner dans les bars qu’avec sa copine. Il l’appelait uniquement pour passer du bon temps avec elle, mais pas pour aller au cinéma. Il ne lui prenait pas la main dans la rue. Quand il lui offrait un cadeau, cela dissimulait une liaison. Johan était loin de la perfection, non pas masculine - là-dessus aucun risque - mais celle du copain sans le moindre reproche. Même si la perfection du couple n’existait pas, il ne faisait rien pour s’en approcher. Il s’écartait un maximum d’une relation durable et stable, par crainte ? Plausible. Il ne s’aventurait pas au-delà de l’attirance. Pour son ex-meilleure amie, ce n’était pas pareil. Il ne souhaitait pas la blesser mais son instinct de chasseur se trouva bien plus robuste que lui. Mais lorsqu’elle claqua la porte, Johan ne s’était pas contenté de fumer une sèche avec un air détaché. Il s’était bien sûr allumé une clope, mais il s’empressa que trop tard pour ouvrir la porte. Il lâcha une insulte bien connue entre ses dents, celle qui commence par un M et se termine par un E. Il entra de nouveau dans sa chambre et claqua lui aussi la porte, pour une fois il s’était laissé emporter par la colère. La même colère qu’il alimentait encore contre lui. Mais pourquoi s’était-il refermé alors que son cœur ne souhaitait que s’ouvrir ? Pour une fois, il ne s’en fichait pas. Pour une fois, il comprenait pourquoi son palpitant s’accélérait quand la belle brune s’approchait de lui. Mais le Johan par excellence n’était pas loin et il ne se faisait nullement attendre.

-Je ne sais pas pourquoi mais… je ne te crois pas. Tu ne me feras pas croire ça. Il était si sûr de lui, peut-être un peu trop. Moi, je n’ai rien oublié… pas le moindre détail. Tu veux peut-être que je te rafraîchisse la mémoire ? Enrichit-il un sourire en coin et un air des plus malicieux. Il cachait très bien ce qu’il ressentait. Néanmoins il s’écartait quand même un peu de son instinct de chasseur, car il serait encore capable de la séduire pour l’attirer entre ses bras. Mais Johan se plaisait trop dans ce rôle-là… Alors tu t’es sacrifiée au lieu d’envoyer une pauvre innocente dans l’antre de Johan… et tu n’as pas peur du prédateur que je suis ? Il s’avança vers la belle, les yeux encore scotchaient sur elle. En face de son « amie » il la contourna de son bras pour se saisir du livre posé sur le bureau derrière elle. Il ne cilla pas et il s’écarta pour lui tendre le livre. Tu peux le prendre et t’en aller, si bien sûr rien d’autre ne t’intéresse ici… Il ponctua pas spécialement sa phrase et il sous-entendait quelque chose qui n’était pas dur de comprendre. Pourquoi se décollerait-il de l’étiquette qui construisait sa réputation ?

Quelques élèves le trouvaient détestable, en particulier les hommes mais les filles adoraient le détester. Quand Johan méprisait une personne, il ne le faisait pas dans la dentelle, il arborait un peu de taquinerie, de sarcasme ou de mesquinerie. Envers un mec, il lui arrivait parfois d'en venir aux mains si celui-ci n'arrêtait pas de le provoquer. À l'inverse pour une fille, il optait pour une sorte de détachement, ce qui l'empêchait d'entrer en réelle mésentente avec elle ou d'en venir aux mains, chose qu'il ne tolérait pas. Frapper une fille et puis quoi encore. Reprochez lui d'être un pécheur ou même un séducteur sans limite, il s'en moquait car vous ne pouvez pas lui reprocher d'être violent envers les femmes. Croyez n’importe quel racontar sur lui mais pas celui-ci. Alors que la porte de sa chambre se refermait sur le nez du voisin, Johan ne manqua de lui lancer une œillade nonchalante, comme pour lui dire d’arrêter et de vaquer. Il aurait aimé l’envoyer voir ailleurs de manière physique et non verbale, du moins pas tout de suite mais uniquement si l‘homme persistait dans son attitude, car pour réellement énerver Johan ce n’était pas chose aisée. Il restait calme, presque impassible mais quand un vicieux reluquait la fille qui monopolisait son esprit, il bouillonnait de l’intérieur.

-Non, mais j’comprend pourquoi le mec se tapait un fixe. Il préféra lui dire une telle phrase que de lui avouer qu’il n’avait d’yeux que pour elle ou quelque chose de semblable. Il laissa son regard tomber sur le sol et passa sa main gauche sur sa nuque. Il n’espérait qu’une chose, reconstruire ce qu’il cassa entre eux. Il n’était pas doué pour les réconciliations. Il n’était pas doué pour se faire pardonner. Mais il était doué pour le « qui ne tente rien n’a rien ». Nonobstant cela, risquerait-il de la voir une seconde fois claquer la porte ?
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Everleigh L. Roberts

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptySam 31 Oct - 18:52

    Qu'il dise qu'il n'en était pas sûr Everleigh le sentait,à force de l'entendre parler et à force de le voir passer à l'action. Elle pouvait presque deviner ce qu'il dirait ou ce à quoi il pensait,c'était ça les soirées en amis dans les nightclubs au lieu de rester bien sagement chez soi pour réviser. La demoiselle ne se trouvait pas être dans la position d'être une forte tête qui passait ses soirées à étudier les problèmes sociologiques de notre société contemporaine mais plutôt à enquêter sur le terrain ; et par enquêter boire en est le parfait exemple. Quoi de mieux que de se saouler et ainsi se montrer bien plus proche des gens et tout ça favorisait l'échange social ; et on dit merci qui pour cette brillante analyse ? Everleigh bien sûr !

    Dans la vie de tous les jours,être une jeune femme de son temps qui s'amusait à sa manière était plus ou moins pas bien vu au sein de l'université,pourtant elle s'amusait. Et tout le monde savait qu'en s'assumant on avait fait un grand pas bref, faisant la moue elle eut envie de répondre défiante « oui allez rafraîchis moi la mémoire j'attends que ça » mais de un ça la ferait passer pour une nympho' et de deux elle n'aurait pas eu le temps de continuer sa phrase qu'ils seraient déjà allongés sur le lit qu'elle s'entêtait à ne pas voir. C'était dégueulasse d'être venue ici et penser que se tout passerait bien parce qu'avec Johan rien ne se passait bien justement. Il pouvait être surprenant passer du chaud au froid en un quart de seconde,être en colère et se mettre à la taquiner ensuite,pourquoi avait-elle tout brisé pour une histoire de sentiments mal-placés ? Chez d'autres,il ne l'aurait pas jeté bien au contraire E. se vanterait d'être en couple et que le garçon en question se mette en quatre pour elle. A la fois charmeur mais protecteur,taquin mais romantique qu'il la regarde dans les yeux avec désir et envie,et une envie malsaine d'un coup d'un soir.. Mais une envie quasi-éternelle. « Non merci... Une fois t'as suffis j'ai pas envie que tu te mettes a y prendre goût » Petite insolente,elle eut envie d'éclater de rire et poser son index sur ses lèvres pour l'obliger à garder le silence,il était beau silencieux sans qu'il ne sorte de bêtises pour se faire bien voir ou au contraire se faire haïr,par un acte banal il se rendait magnifique.

    Elle avoir peur ? De quoi ? Il avait déjà testé son pouvoir sur elle il serait prêt à recommencer mais elle ne dirait rien ou quitterait sa chambre en pleurant,car elle savait que Johan avait horreur des filles qui pleuraient ; pas vraiment sensible elle sentait pourtant que si elle se mettrait à pleurer il se calmerait. Vite,du savon ! Qu'elle en glisse dans le coin de son œil et qu'elle attende ensuite les larmes couleraient d'elle même ça lui avait permit de se sortir de pas mal de situations alors pourquoi pas celle-ci ? « Je ne vois pas pourquoi je devrais avoir peur ; t'es qu'un type qui pour flatter sa virilité cherche à se taper tout ce qui bouge. C'est pathétique ; et j'ai vu en cours que ça cachait un profond manque de confiance en soi. » L'étudiante ne cherchait pas à l'insulter ou à l'énerver juste à le titiller lui voulait jouer les gros bras en l'effleurant inconsciemment ou non ? Autant y aller franchement n'est-ce pas ? Elle fit la grimace quand elle vit son torse se pencher vers elle tout en l'évitant ; vraiment étrange ce sentiment d'être oppressé alors que les fenêtres étaient grandes ouvertes. Se sentait-il obligé de la fixer ainsi ou de laisser sa phrase en suspens,ou de faire une allusion sexuelle a tout ce qu'il disait. Non pas que c'en était désagréable mais perturbant elle esquissa un sourire,se passa sa langue sur ses lèvres qui brillèrent comme un rayon de lumière qui les transperçait et laissa ses doigts s'aventurer sur l'épaule droite du jeune Evans. « Et par autre je dois penser quoi ? » Le rôle de l'ignorante lui collait parfaitement qu'elle pourrait être la nouvelle Scarlett J. facile. Sa voix s'était faite mutine limite posée sur le ton de la confidence il la croyait coincée et perturbée ? Et bien il devrait revisiter toutes ses anciennes théories alors. « Je le comprends aussi ; t'as vu la taille que j'ai ou les yeux que j'ai ? Ce que je ne comprends pas c'est que mon soi-disant meilleur ami m'ait jeté comme une vulgaire traînée après bien s'être amusé avec moi... »
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Johan A. Evans

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptySam 31 Oct - 21:41

Pourquoi fallait-il qu’il se comporte comme tel ? Il risquerait de la blesser une seconde fois. Il s’en fichait pas mal de coucher avec une fille qui ne représentait rien pour lui, il les collectionnait les histoires sans lendemain. Mais la belle représentait beaucoup pour lui, néanmoins un soir il la considéra comme une liaison sans importance. Il était peut-être temps de lui avouer ce qu’il ressentait au fond de lui… c’était sans compter sur sa fichue fierté masculine qui ne le lâchait pas d’une semelle. Mais pour une fois, ne pouvait-il pas faire un effort ? Ne pouvait-il pas prendre le dessus ? Mission impossible… sauf pour Johan qui adorait dépasser les limites et défier les interdits, pour lui rien n’était impossible. Il écouta la belle réplique de son « amie », ce qui ne lui donna pas envie de se taire. En temps normal, il rétorquait de manière déconcertante et… il n’allait pas faire exception. Il se trouva en face de la belle, ses yeux dans les siens et ses lèvres non loin des siennes. Craquerait-il le premier ? Il ne résistait pas aux filles et encore moins quand l’une d’entre-elles se nommait Roberts. Franchirait-il la fine limite entre leurs lèvres ?… pour l’instant, il se contenta de lui répondre. Insolant mais aussi enivrant, il diminua la distance entre eux. Mais ses lèvres ne firent que frôler celles de la demoiselle, il les approcha de l’oreille droite de cette dernière.

-Trop tard… Il recula et lui adressa un clin d’œil. Pourquoi leur relation en était-elle arrivée là ? Il se remémorait quelques souvenirs qui lui accrochèrent un sourire aux lèvres. Les remords l’emplissaient de plus en plus. Il enleva la serviette situé autour de son cou pour la poser sur le dossier d’une chaise. Il déposa ses mains dans les poches de son pantalon et s’orienta vers son lit tout en écoutant les paroles de la demoiselle. Tu ne disais pas ça l’autre soir… et tu crois me connaître par le biais d’un cours ? Il ironisa la fin de sa phrase puis il s’installa sur son lit les bras croisés derrière la tête, elle-même tournée vers Everleigh. Il la défia du regard. Ce n’était pas une invitation, quoique… il la désirait… euh il désirait uniquement voir sa réaction. N’était-ce pas un lapsus révélateur ? Possible. Oui, il la désirait mais pas comme la dernière fois. Il la désirait avec bien plus que de l’attirance. Le beau brun se redressa pour s’appuyer sur ses coudes, sa tête encore orientée vers l’unique fille présente dans sa chambre mais aussi l’unique fille présente dans ses pensées. Pourquoi me poser une question alors que tu connais la réponse ? Il ne cessa de la défier, comme pour la dérouter de quelque chose. Finirait-elle par céder ? Ou claquerait-elle encore la porte ? Pour la première option, Johan l’accueillerait-il ? Pour la seconde, la retiendrait-il ? Il ne supportait plus de tourner en rond. Il se leva sans lâcher la belle des yeux. Les dernières paroles de celle-ci lui donna l’envie de sourire de façon sournoise mais non, il resta simple. Il s’avança vers elle sans trop l’approcher.

-Là-dessus tu as raison… tu es superbe. L’honnêteté raisonnait dans le ton de sa voix, de même qu’au fond de ses pupilles. Tu comptes encore pour moi, plus que tu ne le penses. Je n’ai aucune excuse… me servir de ton amour pour coucher avec toi. Je ne ferai pas deux fois la même erreur… si bien sûr tu m’aimes encore. Elle seul possédait la bonne réponse. Il s’aventura encore un peu plus vers elle. Plus question de traînailler, il la faisait peut-être souffrir et lui avec. Johan diminua lentement mais sûrement la distance qui les séparait. Il ne s’amusait plus, il ne s’amuserait plus avec elle. Il n’usait pas de belles paroles, il s’avérait être sincère. Mais son charme naturel ne l’abandonnait pas. Il lui frôla sa main avec la sienne.
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Everleigh L. Roberts

Everleigh L. Roberts

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyDim 1 Nov - 12:02

    Il n'était jamais trop tard pour faire ou se rendre compte de quelque chose,on pouvait arriver en retard à un rendez-vous,à un cours,ou juste pour prendre un moyen de transport. Mais il n'était jamais trop tard de se confier et de dire très clairement ce qu'on pensait de telle ou telle personne et ce que l'on ressentait quand on la voyait passer devant nous. Le temps passe rapidement quand on ne sait pas profiter de l'instant présent,quand Everleigh adolescente se préoccupait plus de ses vêtements au lieu de ses amis,il y avait toujours eu un problème quelque part ça coinçait toujours à un moment donné. Sauf dans sa relation avec Johan,tout passait entre eux aucun tabou ils se parlaient,discutaient alors qu'il était tout sauf fréquentable selon certains,et par certains le père Roberts tenait la couronne,il avait peut être raison Evans -parce qu'il ne disait jamais son prénom mais toujours son nom- n'était peut être pas une bonne fréquentation pour sa sage & timide fille.

    Grimaçant lorsqu'elle vit la distance s'évaporer et avalée par son insistance elle le laissa terminer seul son « plus tard » honte à elle qui pouvait rétorquer normalement,le pousser à bout. L'embrasser pour mieux le jeter ensuite ; se venger ? Pourquoi pas ? N'avait-elle pas été quasi-humiliée par ce même individu quelques jours auparavant ? Cette même personne qui maintenant à la vision de sa personne,magnifique personne se sentait à nouveau faible et désireux de se faire bien voir. La vengeance n'est pas un moyen honnête pour arriver à ses fins et pourtant ça ne gênait pas la jeune bachelor elle se fichait de savoir ce qu'il en dirait par la suite. Elle n'aurait plus qu'à jouer le jeu, battre des cils,jouer le ton de la désinvolture,laisser glisser une brettelle de son sous-vêtement sur son épaule et la arranger à moitié gênée qu'il en resterait troublé. N'était-il pas un mec qui comme tous les autres réagissaient au quart de tour dés qu'on parlait de sexe,de filles ou de débauche ? Plissant les lèvres avec attention elle le laissa encore « s'enfoncer » dans son délire. Lui était le beau gentil qui faisait craquer toutes les filles Everleigh n'était plus qu'une banale proie qui devrait céder à nouveau : « Ça montre juste que j'ai l'air de connaître beaucoup mieux mon cours que l'ami... » Il lui tendait des perches elle était obligée de répliquer,il savait comment elle se comportait une fois ses veines bien alimentées par son sang chaud et la furieuse envie de le baffer ou de claquer la porte et ne plus jamais y revenir. Faut jamais dire jamais parce qu'on fait à chaque fois la chose qu'on s'était juré de ne plus « jamais » refaire,elle passerait encore plus pour une idiote et ne se gênerait pas à lui faire la remarque. Curieuse position,que ce soit au sens figuré ou au sens propre. Elle ferma les yeux essayant de l'imaginer plus loin d'elle sans qu'elle puisse sentir le souffle chaud se poser sur ses joues ou dans le creux de son cou : « Je demande juste confirmation pour savoir si on pense pareil...Ou pas » Elle passa une main dans ses cheveux bruns juste ondulés mais pas vraiment bouclés puis prit le livre entre ses bras,le considérant comme une armure ; on se protège avec les moyens du bord. Le serrant sans vraiment le remarquer contre sa poitrine elle n'eut qu'une envie ; s'enfuir. Okay c'était lâche de s'enfuir mais si il n y avait aucune autre solution ? Sauf que le jeune homme ne voulait pas la laisser partir,déjà par le compliment qui se trouvait être une vantardise à la base ensuite en s'approchant toujours autant d'elle mais beaucoup moins en mode « prédateur » grâce à ses yeux qui scintillaient vraiment et cette lueur de vérité quand il parlait qu'elle sentit le sol s'ouvrir en dessous de ses pieds,comme si tout allait s'effondrer sauf eux. Et voilà se remettre à penser à eux alors qu'il lui avait fait bien comprendre qu'il y en aurait jamais et pourtant il se contredisait. Il regrettait s'excusait ; NON il n'avait pas le droit,pas le droit de se faire pardonner parce qu'elle l'aimait plus que quiconque,pas le droit de jouer de sa position. Elle craquerait parce qu'en ce jour Johan lui avait demandé très clairement si elle l'aimait encore. C'est une question qui ne se pose pas,il la tuait à petits feux en lui faisant revivre la soirée et les larmes qui ont suivies,pour lui c'était simple dire trois/quatre mots et oublier. Mais elle avait souffert et en souffrait encore elle devrait se mettre à pleurer pour qu'il comprenne,et ainsi lui supplier à le pardonner et pas juste des mots. Mais l'amour ne se contrôle pas alors juste en disant ces quelques phrases la brunette était déjà aux anges. « On ne peut pas effacer des sentiments qui sont encrés en soi depuis des mois entiers en quelques jours... » Elle ne lui dirait pas les trois mots parce qu'il était trop tôt et qu'après les avoir dit une première fois et se faire jeter elle prendrait du temps à les redire encore. Se collant contre le bureau elle recula instinctivement lorsque sa main vint à la rencontre de la sienne,elle n'en avait pas peur mais juste craintive,peur à nouveau de craquer et souffrir ensuite. Ses doigts effleuraient ceux de Johan dans un curieux silence,une mèche de ses cheveux devant les yeux qu'elle rejeta en arrière par un mouvement de tête et en croisant son regard elle sentit ses joues rougir jusqu'à l'étouffement. « T'attends quoi ? Dans les films c'est le garçon qui embrasse la fille ; pas le contraire... » Le pire c'est qu'elle était sérieuse...
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Johan A. Evans

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyDim 1 Nov - 23:00

Johan adorait les personnes qui avaient du répondant surtout de la part d’une fille. Il adorait quand les conversations étaient pimentées mais sans aucune impolitesse. Pas question de débiter des insultes, celles-ci prouvaient uniquement que la personne ne trouvait rien d’autre pour se défendre… déplorable. Le ténébreux n’en usait pas, mais il lui arrivait qu’une invective s’échappe malencontreusement de sa bouche lors d’une petite mésaventure, tel qu’un réveil prématuré. Quand bien même, il se montrait plus râleur que malhonnête. En prime de son charme, sa politesse l’aidait beaucoup pour séduire les filles. Mais il ferait mieux de se calmer, si il espérait faire évoluer sa relation avec la belle. Il s’était quand même modéré ces derniers temps, comme quoi rien n’était impossible. La raison de sa modération ? Inutile de vous la dire, vous la connaissez… ne cherchez pas bien loin. Johan était complètement entiché d’une seule personne, qui sans le vouloir et sans le savoir l’empêchait de s’oublier dans les bras d’une fille. Quand ils étaient amis, elle était sa bonne conscience celle qui lui barrait la route quand il tournait mal. Il ne la méritait pas. Que faire pour se racheter ? Au diable le pardon, ce n’était pas pour lui. Il était trop tiraillé entre la culpabilité et la fierté. Quel dilemme… mais bordel ne pouvait-il pas pour une fois abandonner son amour-propre pour enfin écouter son amour envers la belle ? Quelle tête-brûlée celui-là ! Néanmoins, il cessa de se comporter comme tel. Il ne rétorqua rien alors que ses lèvres brûlaient d'envie de sortir une réplique, car il ne manquait pas de répartie. Il se contenta de lever les yeux en l’air. Oui, il ne supportait plus de tourner en rond. Terminé les phrases pourvues de sous-entendus déplacés. Terminé de s’amuser, il était temps de passer aux choses sérieuses. Nan, lui sérieux ? Improbable ! Quand il s’avérait être un minimum sincère, ce n’était que supercherie. Il manipulait autrui pour en tirer quelque chose mais pas là… il n’en ferait rien.

Il restait là, debout sans rien faire… embrasse-la puis basta. Elle n’en attendait pas moins et lui ne désirait rien d’autre. Il l’écouta alors que ses yeux ne savaient plus où se poser… dans les siens ou sur ses lèvres. Elle demanda une confirmation… la voilà. Avoues que ce livre n’est qu’un prétexte futile pour me voir ? Et qu’en l’occurrence, ce qui t’intéresse le plus ici, c’est moi. Il pencha un peu sa tête sur le côté. Il ne se prêchait pas en se faisant passer pour la principale raison de la venue de Ever‘. Il tentait de lui tirer les vers du nez. Plus rien n’existait autour de lui quand il s’ombrait dans les yeux de la brune. Elle possédait un pouvoir sur lui, elle l’ensorcelait. Il se montra tellement stupide en couchant avec elle… bien qu’il en préservait un bon souvenir, il ne recommencerait pas enfin pas comme la dernière fois, pas en se comportant comme un salaud. Il ne tâcherait pas de la virer le lendemain. Il ne tirait aucun précepte de ses erreurs, mais pour une fois… si.

Le silence s’empara du beau brun. Elle lui révéla que ses sentiments étaient encore présents, puis par crainte elle se colla contre le bureau, comme pour l’empêcher qu'il lui prenne la main. Il se contenta de la regarder sans bouger. Il la comprenait parfaitement alors quoi faire pour lui prouver qu’il ne s’amuserait plus avec elle ? Mais inutile de trouver une solution, elle lui demanda d’une manière comme d’une autre de l’embrasser. Puis elle tâtonna la main de l’Under’ qui se rapprocha d’un pas et qui la lia délicatement avec la sienne… Dieu, comme sa peau était si douce. L’autre main s’empara du bouquin pour le placer sur le bureau. Tu n‘en auras pas besoin. Il ne la brusqua pas, il resserra sa taille contre la sienne pour ensuite lui déposer un premier puis un deuxième baiser dans le cou. Il continua vers les lèvres alors que ses mains se donnèrent rendez-vous au niveau de la taille céleste de la demoiselle. Il ferma les yeux et savoura ce baiser qu’il n’espérait plus. Il faufila ses mains en-dessous du haut de la belle mais il les laissa au rez-de-chaussée. Avec ses pouces, il pratiqua une douce friction sur la peau.
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Everleigh L. Roberts

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyMar 3 Nov - 21:51

    Johan faisait partie des rares personnes qui une fois "découvertes" vous faisaient beaucoup moins peur. Dans mes plus lointains souvenirs, il dégageait un sentiment inconnu en moi une force qui me poussait et me forçait a aller à sa rencontre. Lui parler,même pour quelques mots juste pour qu'il ne se sente pas seul. Moi en tout cas j'étais seule sans lui je m'étais habitué à ses sourires qui malgré le fait qu'ils soient rare étaient sublimes et leur rareté n'ajoutait que du charme à son ensemble. Qu'on m'explique ensuite pourquoi et comment une aussi jeune fille et censée comme moi -non pas que j'en rajoute ou quoi bien au contraire- ne devrait pas tomber amoureuse de Monsieur Evans. Tomber amoureuse qu'elle expression stupide pour moi ; tomber c'est se faire mal alors ainsi l'amour faisait mal quand on s'éveillait ou quand on se rendait compte de quelque chose. Ma "chute amoureuse" avait été provoquée par la même personne pour laquelle je ressentais des sentiments les mots peuvent être aussi violents que des gestes utilisés à bon escient,et je le savais à mes dépends. Moi la petite fille pourrie gâtée qui se fichait de ce qu'elle faisait j'étais dépendante de lui quand il me poussa à avouer la réelle raison de ma venue ici je ne pu m'empêcher de rougir et de me mettre à ronger l'ongle de mon pouce -signe qui montrait bien ma nervosité- il lisait en moi comme on lisait dans un livre ouvert. Une emprise pas vraiment définissable qui me rendait aveugle ou me faisait oublier ce qu'il m'avait fait subir par le passé car j'avais besoin de sa présence,de son regard plus ou moins protecteur. Ou de son odeur d'after-shave qui même discrète me donnait des idées anti-chrétiennes. Il me poussait à la tentation juste en entrouvrant les lèvres ; je le voulais. Et je m'étais jurée de l'avoir, au lycée un copain m'avait dit que j'étais une chasseuse et qu'une fois l'objet de mes convoitises obtenu il fallait que je change de cible et avec le cas Johan alors ? Je ne pouvais pas admettre qu'il me rejetait et me prenait comme une de ses bachelor sans cervelles qui acceptaient tout pour son sourire. La plupart de ces filles ne savaient pas quel parfum de glace il aimait ou quelle couleur lui allait à merveille moi tous ces détails je les connaissais, je n'étais pas voyeuse mais je voulais juste qu'il soit mien.

    Encore un de mes caprices de gamine,faudrait peut être que je me débarrasse aussi de ce trait de caractère..Ou pas. Le pire dans tout ça fut ma réponse ou plutôt ma non-réponse le fait que je dise rien et que je le laisse donc avoir raison,il ne sentirait plus ou au contraire se sentirait puissant et ultra-charmeur. Et il l'était surtout quand il me fixa et que je sentis le sol s'ouvrir sous mes pieds, j'avais oublié et pourtant retrouvé la sensation de toucher sa peau,de frémir quand il m'effleurait mais le forcer à la fois à continuer. J'étais partagée par deux sentiments radicalement opposés ; le repousser pour lui faire du mal (?) me venger mais en faisant ça je nous ferais souffrir tous les deux non ? Ou me jeter dans ces bras et ne plus m'en échapper,plus il s'approchait plus mes genoux s'entrechoquaient,mon air traditionnellement rusé et ironique avait laissé place à un visage empli d'espoir et de doutes. Je lui ferais confiance quoiqu'il arrive car même si je n'y crois pas vraiment Johan m'était destiné. Je sais ça parait gros mais en voyant ses yeux et la lueur qui s y logeait je savais que je n'étais pas en tort. La dernière chose qu'il fit avant de venir pile en face de moi me fit sourire,ce bouquin je n'en aurais pas besoin mais je l'avais quand même serré contre ma poitrine comme s'il signifiait quelque chose pour moi ; le retour de Johan...
    Mon sourire n'était pas faux mais pouvait y ressembler il ne me brusquerait pas alors que moi c'est ce que je voulais ; un baiser comme dans les films qui durait deux minutes mais paraissait une éternité. Tout se finirait ou se commencerait bien car de la manière dont il plaça ses mains autour de ma taille me laissait penser que leur place légitime était là et pas autre part,enfin autre part sur mon corps pas de problèmes mais pas autre part sur le corps d'une autre,c'est ce que je tenta de lui faire comprendre ou de le lui dire mais plus taquin et malin que moi il s'offrit le droit à nouveau de déposer ses baisers telles des gourmandises au creux de mon cou. Mon cou,l'endroit où j'étais le plus libre en l'effleurant je devenais dans des états pas possibles il le savais et savait comment se servir de sa bouche pour me rendre heureuse. J'inspira un bon coup et expira je le désirais toujours autant alors quand son souffle chaud se rapprocha de mes lèvres pour de nouvelles retrouvailles tant rêvées je le regarda quelques secondes ma main passant sur son visage ; ses traits toujours aussi parfaits,son nez droit, sa fossette qui s'élargissait au degré de son sourire et juste avant de retrouver les siennes à nouveau murmura : « Si tu pouvais savoir à quel point tu m'as manqué et à quel point j'ai rêvé de ce moment... » J'aurai pu continuer mais je voulais ses lèvres à nouveau alors fermant les yeux et laissant les siennes se coller aux miennes j'eus le souffle coupé lorsque nos deux souffles se sont mélangés je me sentais bien et en sécurité. Ma main s'était glissé dans ses cheveux,de manière à ce que je puisse tenir sa tête sans vraiment forcer je ne sais pas combien de temps notre baiser a duré. Tout ce que je me souviens c'est de mon estomac noué en rouvrant les yeux et voir qu'il était là et qu'il ne s'agissait pas d'un rêve,ses mains glissèrent en dessous de mon tee-shirt et je n'en ressentis aucune gêne ou crainte ; elles avaient leur places ici point final. « Tu me promets de ne plus me laisser tomber hein ? ... Je t'aime tellement. » Ma voix était frêle et ne tenait pas vraiment j'ai même eu l'impression que j'avais avalé quelques mots mais le principal il avait du l'entendre alors sans plus attendre je l'entraîna vers son lit sans grande appréhension mais plus par envie. Mes doigts qui caressaient son cou tout en restant figée devant lui,je me mise à nouveau à l'embrasser mais bien plus passionnément et avec plus d'insistance nous faisant virevolter il était devant le lit et d'un simple mouvement de main je le fis tomber sur le lit,m'installant sur ses genoux je lui lança un regard charmeur mais tout aussi mystérieux : « Tu crois que je me souviendrais de cette fois là ? »

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MessageSujet: Re: J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts.   J'dois quand même avouer que tu me manques •• e.roberts. EmptyMer 4 Nov - 17:00

Une fois n’était pas coutume pour le beau brun… penseriez-vous qu’il serait encore capable de s’amuser avec elle ? Elle qu’il estimait tant et qui pourtant n’était qu’une fille, mais pas n’importe laquelle pour lui. Néanmoins, il était avant tout un prédateur sans foi ni loi. Alors pourquoi ne recommencerait-il pas ? Pour se reprendre une claque ? Pas question. Pour le refaire souffrir ? Idem. Il ne supporterait pas de lui faire mal une seconde fois. Il risquerait de la perdre pour de bon, de ne plus la revoir même pour un simple livre. Il ne comprenait pas sa réaction l’autre soir, non il ne comprenait pas… peut-être était-ce la plus facile mais aussi la plus lâche au lieu d’assumer ses actes, ses responsabilités… ses sentiments. Il les repoussait sans cesse, il ne les écoutait pas… mais au final, ils étaient présents et ils ne demandaient qu’une seule chose : s’exprimer. Ce qui n’était pas si simple avec une tête-brûlée comme monsieur Evans. Un vrai borné de la vie celui-là ! Le maître en la matière. Nonobstant cela, il laissa tomber le masque. L’amour s’était emparé de lui, il s’en était écarté mais quand elle claqua la porte ce matin-là, son cœur se serra, son ventre se noua… il en était amoureux tout simplement. L’amour ne s’expliquait pas et ne se contrôlait pas. En prime, il ne connaissait rien de l’amour, car il n’était dès lors nullement tombé amoureux. Il était entièrement novice dans ce domaine là. Il se trouva donc lâcher dans un monde inconnu mais qui ne lui déplaisait pas. L’inconnu ne lui faisait pas peur, alors inutile de vous inquiétez pour lui. Il saura rester raisonnable aux charmes des autres filles. Quoi, vous ne concédez pas une pareille chose ? À cause de ses antécédents pas très illustres en fidélité. Ne dites pas de bêtises, bien que Johan ne représentait pas la fidélité par excellence, il lui arrivait de résister aux demoiselles quand il était en couple, car en tant que célibataire il ne se faisait pas prier. Il adorait user de son pouvoir de séduction. Mais par amour serait-il apte de laisser tomber les clins d'œil et les belles paroles ? Ou serait-il en mesure de n'être l'homme que d'une seule femme, de ne pas aller voir ailleurs ? Ever' connaissait parfaitement la réputation du ténébreux et elle en était quand même tombée amoureuse. N'était-ce pas de la folie que d'aimer un briseur de cœurs ? Non, pas si ce dernier l'aimer en retour. Quelle sensation de s'éprendre d'une personne, quel merveille de l'embrasser, quelle plaisir de se noyer dans ses yeux. Qui aurait cru une telle chose ? Qui aurait cru cela possible ? Aucun cartésien, peut-être quelques crédules mais avouez quand même que vous ne vous doutiez pas une seule seconde de voir ce cher Evans touché en plein cœur. Il n'était finalement pas intouchable.

-Ton rêve n'en sera plus un. Il sous-entendait par là, qu'il le rendrait réalité. Mais il resta silencieux sur la suite de sa réponse. Il n'avoua pas encore qu'il redoutait de ne plus la revoir depuis leur dispute. Qu'il redoutait de ne plus pouvoir la croiser dans les couloirs sans lui adresser un sourire. Qu'il redoutait de ne plus avoir la chance de l'embrasser. Mais il ne compléta pas sa phrase de ces quelques détails qu'il terminera peut-être par lui dire entre deux baisers. Il se contenta de la contempler comme un chef-d'œuvre, comme l'unique personne capable de faire fondre son cœur. L'une des main de Ever' se faufila dans les cheveux de l'Under' alors que les siennes s'étaient installées bien au chaud entre la chair et le tissu. Je te le promets. Il lui murmura ceci au creux de l'oreille, une phrase qui respirait la sincérité. Mais il ne se risqua pas de lui dire maladroitement qu'il l'aimait aussi. Car il était sans aucun doute doué pour emballer les demoiselles, néanmoins il ne l'était pas pour ouvrir son cœur. Elle l'entraîna vers le lit puis un baiser passionné plus tard, elle le poussa paisiblement dessus. Il la laissa faire tout en la dévorant avec envie. Oh que oui… n'en doutes pas. Il tomba en arrière, emportant la belle dans sa douce chute. Il ne lâcha pas la taille de celle-ci et remonta lentement mais sûrement ses mains, tout en kidnappant le tee-shirt de Ever' sur leur route. Il l'embrassa avec plus de conviction, plus de détermination. Elle était là contre lui, une situation presque inespérée mais réelle. Il décolla ses lèvres des siennes, pour lui retirer son tee-shirt qu'il laissa tomber sur le drap. Il débuta une série de baisers dans le cou de la belle, puis inversa leur position en se retournant sur le côté. Lui sur elle, il l'embrassa en lui mordillant la lèvre inférieure avant de descendre au niveau du ventre, où il relança ses baisers. Il ne disait plus rien, car pour l'instant le silence était d'or. En remontant, il déboutonna le pantalon de la demoiselle, mais sans rien faire de plus. Il en profita pour enelver son débardeur qu'il balança sur le sol.
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